mardi 25 mai 2010

FLEURS

APRES PLUSIEURS JOURS DE SILENCE VOICI DES PHOTOS DE FLEURS
































VIE COMMUNE

Merci à tous pour vos messages d'encouragements, je pense que je vais retourner voir le docteur S. qui m'avait beaucoup aidé, car j'en ai besoin.
En faite, pour tout vous dire ma vie de couple est difficile et dès qu'il y a une "dispute" je le vis mal. C'est délicat de parler de cela, je sais très bien que pour tout le monde c'est pareil il y a des hauts et des bas, mais je ne sais pas, je n'arrive pas à dédramatiser, à relativiser, chaque paroles ou attitudes que je n'apprécie pas me font mal, me touchent et me démoralisent, (c'est mon côté hypersensible).
Le dialogue est souvent difficile entre nous, j'ai l'impression que nous ne parlons pas le même langage. Je culpabilise et je me remets en question. Bref, dans c'est cas là le moral est au plus bas.
Ca va passer...

vendredi 21 mai 2010

BROUILLARD

Parfois mes pensées sont tellement embrouillées que je ne sais pas comment les exprimer alors je préfère rester silencieuse et vous lire plutôt qu’écrire. Je n’arrive pas à laisser de commentaires sur vos blogues, les mots me manquent et je ne sais quoi dire.

Depuis quelques temps je me remets beaucoup en question, je m’interroge sur l’avenir, mon existence, j’ai des doutes et des interrogations. J’ai envie de changements, d’avoir des projets et de prendre du temps pour moi.

Je suis fatiguée d’être jugée, critiquée, désaprouvée et de n’avoir jamais de mots d’encouragements, de gestes réconfortants ou avoir juste un petit peu de reconnaissance. Je ne demande pas grand-chose mais rien qu’une parole ou un peu de soutien pourrait me faire du bien.

Je suis lasse, j'ai les épaules lourdes, j'ai l'impression d'être usée, et d'être mauvaise dans tous les domaines. Tout se bouscule dans ma tête, j'espère que cela va passer. A bientôt.


mardi 11 mai 2010

JE SUIS DÉSOLÉE

Je suis vraiment désolée, j’espère que Névrosia et Bellezouzou voudront bien m’excuser.

Je ne suis pas allée au blogorencontre organisé par Bellezouzou, je m’en faisait pourtant une joie mais voilà, comment justifier cette sortie auprès de mon copain, sachant qu’il ne connait pas l’existence de mon blog, que je ne fais jamais de sortie entre copine, jamais de ciné entre copine ou de restaurant, pour la simple et bonne raison que je n’ai pas vraiment de copine avec qui sortir ou partager des moments de plaisirs.

J’ai quelques amies, des connaissances mais pas de réelle copine avec qui discuter, se changer les idées et sortir. Généralement mon copain travail le samedi mais comme c’était un jour férié il était à la maison et il fallait que je trouve une excuse pour sortir et le laisser avec les enfants. Mais voilà, je ne voulais pas mentir, inventer une histoire bidon (de toute façon j’en suis incapable, ce n’est pas dans ma nature). J’ai pensé à vous toute la journée mais je me suis fait une raison.

Un autre samedi peut-être ? et je demanderai à ma maman de garder les enfants pour quelques heures. Je ne dirais rien de cette sortie, ne rien dire ce n’est pas vraiment mentir. J’espère pouvoir venir une prochaine fois et vous rencontrer.

vendredi 7 mai 2010

LES GROS CAILLOUX DE LA VIE

J'ai trouvé cette histoire sur le blog des attrapeurs de rêve que je trouve excellente, c'est pourquoi j'aimerai également vous la faire partager.


Un jour, un vieux professeur de l'École nationale d'administration publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière ".

Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un gallon (pot de verre de plus de 4 litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux a peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda :

"Est-ce que ce pot est plein?".

Tous répondirent : "Oui".

Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment?".

Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.

Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.

L'un d'eux répondît: "Probablement pas!".

"Bien!" répondit le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein?".

Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent :

"Non!".

"Bien!" répondît le vieux prof.

Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience? "

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondît : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ".

"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante: si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous ensuite". Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie?"
"Votre santé?"
"Votre famille?"
"Vos ami(e)s?"
"Réaliser vos rêves?"
"Faire ce que vous aimez?"
"Apprendre?"
"Défendre une cause?"
"Se relaxer?"
"Prendre le temps...?"
"Ou... toute autre chose?"

"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir...sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.

Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?"
Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)"
D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.